Surnommé « A Mot », ce gardien de la paix, chargé de régler la circulation à Douala, montre un visage avenant de la police nationale. Il est 14 heures 30 minutes au carrefour Ndokoti. Le site grouille de monde. Voitures, motos et bus se disputent la traversée de cet axe. Cinq policiers dont trois femmes et deux hommes, la mine fatiguée, se …
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