La 3ème édition des jeux nationaux se déroulera du 17 au 22 décembre à Douala.
Le compte à rebours pour la troisième édition des Dixiades a été lancé hier, 15 décembre 2011, à Douala. Les compétitions vont se dérouler du 17 au 22 décembre 2012. La cérémonie de lancement qui s’est déroulée à la salle des fêtes d’Akwa, a été présidée par le gouverneur de la région du Littoral, Francis Fa௠Yengo, accompagné du président du Comité national olympique et sportif du Cameroun (Cnosc), Hamad Kalkaba Malboum, et du délégué du gouvernement auprès de la Communauté urbaine de Douala, Fritz Ntone Ntone.
Les Dixiades qui se tiennent tous les deux ans, visent à détecter des jeunes talents pour le sport de haut niveau, à valoriser le patrimoine culturel du Cameroun tout en contribuant à l’intégration nationale à travers la pratique du sport et à promouvoir les valeurs éthiques et humanistes véhiculées par l’olympisme. Au cours de cette cérémonie du lancement de la 3ème édition prévue en 2012, le président du Cnosc a indiqué que la durée de la compétition passera de dix à six jours. Ceci pour pallier le manque d’argent et les mésaventures des jeux précédents. A un an jour pour jour de la tenue des 3èmes Dixiades, « le comité d’organisation sera mis sur pied, les différentes commissions aussi, ainsi que les différentes sociétés qui vont accueillir les jeux », a indiqué Fritz Ntone Ntone, le président régional du Cnosc.
Pour ces jeux qui se tiendront dans la ville de Douala, le nombre de disciplines est revu de dix à douze. Le logo de la compétition a été dévoilé. Une sphère qui laisse penser à un globe terrestre, au rayonnement des valeurs de l’olympisme à travers le monde. La ville de Douala est identifiée à travers la présence de la mer et la pirogue, avec en arrière fond la dimension urbaine et métropolitaine.
Du 17 au 22 décembre 2012, les jeunes, filles et garçons, venus des dix régions du Cameroun vont se mesurer en athlétisme, boxe, basketball, cyclisme, football, gymnastique, handball, judo, tennis de table, volley-ball, haltérophilie et la lutte.
Armelle Nina Sitchoma